ICED EARTH Something Wicked This Way Comes (1998)
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ICED EARTH Something Wicked This Way Comes (1998)
Cinquième album d'Iced Earth et le plus réussi jusqu'à présent.
Depuis déjà deux albums Iced Earth propose en fin de CD une trilogie. Celle proposée ici est tout simplement une merveille. De "Prophecy" à "Birth Of The Wicked" et "The Coming Curse" on reste scotché tout au long de ces vingt minutes. Les différentes ambiances ( du très mélodique au trash le plus furieux ) s'incrivent parfaitement dans le thème : la naissance du mal. L'album vaut son acquisition rien que pour cette trilogie : un incontournable du hard-rock.
Ceci dit, le reste de l'album ( dix titres quand même ) est aussi bien réussi. Les titres vont du heavy "Burning Times" au gros trash "Disciples Of The Lie","Stand Alone" en passant par des ballades "Melancholy","Watching Over Me" et par des morceaux mélodiques "Consequences","Blessed Are You". A noter un instrumental "1776" ( gros riff et flûte! ) et un morceau au refrain oriental "My Own Savior".
L'album, malgré son extrème variété, distille une ambiance inquiétante dûe en partie au graphisme ( superbe ) du livret et de la pochette. Le chanteur Barlow est aussi pour beaucoup dans la réussite de cet album.
De toute façon ce CD est INDISPENSABLE pour tout mélomane qui se respecte!
Whyl - 01.01.2006
Depuis déjà deux albums Iced Earth propose en fin de CD une trilogie. Celle proposée ici est tout simplement une merveille. De "Prophecy" à "Birth Of The Wicked" et "The Coming Curse" on reste scotché tout au long de ces vingt minutes. Les différentes ambiances ( du très mélodique au trash le plus furieux ) s'incrivent parfaitement dans le thème : la naissance du mal. L'album vaut son acquisition rien que pour cette trilogie : un incontournable du hard-rock.
Ceci dit, le reste de l'album ( dix titres quand même ) est aussi bien réussi. Les titres vont du heavy "Burning Times" au gros trash "Disciples Of The Lie","Stand Alone" en passant par des ballades "Melancholy","Watching Over Me" et par des morceaux mélodiques "Consequences","Blessed Are You". A noter un instrumental "1776" ( gros riff et flûte! ) et un morceau au refrain oriental "My Own Savior".
L'album, malgré son extrème variété, distille une ambiance inquiétante dûe en partie au graphisme ( superbe ) du livret et de la pochette. Le chanteur Barlow est aussi pour beaucoup dans la réussite de cet album.
De toute façon ce CD est INDISPENSABLE pour tout mélomane qui se respecte!
Whyl - 01.01.2006
whyl- ★★★✩✩✩✩✩ Glamouzerockeur avec fleurs mais sans l'flouze
- ✐ Messages rédigés : 6337
✎ Date d'inscription : 21/01/2016
Re: ICED EARTH Something Wicked This Way Comes (1998)
Excellent album; un de mes préférés d'Iced Earth (avec son prédecesseur "the dark saga")
gandalf- ★★★✩✩✩✩✩ Rockeur en herbe
- ✐ Messages rédigés : 360
✎ Date d'inscription : 20/01/2016
☠︎ Votre âge ? : 49
⛫ D'où venez-vous ? : Haute-Vienne
Re: ICED EARTH Something Wicked This Way Comes (1998)
je sais pas trop ou le mettre ,donc je le met ici :
une version 2011 de "dante's inferno" à telecharger sur le site du groupe
http://www.icedearth.com/dantesinferno
une version 2011 de "dante's inferno" à telecharger sur le site du groupe
http://www.icedearth.com/dantesinferno
zepforce- ★★★★✩✩✩✩ Rockeur en herbe
- ✐ Messages rédigés : 698
✎ Date d'inscription : 20/01/2016
⛫ D'où venez-vous ? : nord
Re: ICED EARTH Something Wicked This Way Comes (1998)
Voici ma prose sur cet excellent album. Pour le style, je plaide coupable, mais j'ai longtemps œuvré chez des déglingos où on avait une grande liberté de ton ! Celle-ci date de novembre 2006 (une de mes premières publiée sur METAL SICKNESS) :
"Amis turfistes bonjour ! Bienvenue pour ce qui devrait constituer l’un des sommets de la saison métallique 1998 à savoir le grand prix Iced Earth autrement surnommé "Something Wicked This Way Comes".
Je vous rappelle que ce trophée est ouvert à toutes les compositions du guitariste Jon Schaffer (parfois secondé par ces petits camarades), personnage étrange, monstre de détermination, ce qui le pousse parfois à des débordements aussi surprenants que ridicules (notamment une vision de l’histoire assez particulière), mais nous nous égarons et revenons au sujet d’aujourd’hui, à savoir la cinquième course du groupe.
Sur la ligne de départ, les titres sont sagement alignés. On sent toutefois une certaine nervosité poindre à l’approche du signal de départ. Attention, top c’est parti, et tout de suite "Burning Times" prend le commandement des opérations avec un refrain très accrocheur. Jon schaffer annonce d’emblée la couleur, il est capable d’annihiler toute la concurrence à coups de riffs dévastateurs (il le rappellera assez violemment sur les titres "Stand Alone" ou "My Own Savior"). Mais voici que survient "Melancholy" qui ralentit considérablement le tempo, superbement mené par Matt Barlow, chanteur aussi impressionnant physiquement (quelle tignasse rousse !) que vocalement (les intonations à la Paul Stanley au service d’un chant puissant et heavy sont absolument incroyables en particulier sur "Consequences"). Mais soudain, grosse accélération, "Disciples Of The Lie" passe en tête pour nous asséner un bon gros trash (qui ne tâche pas). Et rebelote on calme tout le monde avec "Watching over me". Il semble que toute la course va se faire sur cette alternance de tempos tour à tour rapides et lents. Cela en devient prévisible et gâche un peu le plaisir que peuvent donner séparément des morceaux tels que "Conséquences" "Reaping Stone" ou encore "Stan Alone".
Attardons-nous sur les concurrents "1776", superbe instrumental très inspiré avec des parties de guitares que ne renierait pas la Vierge de Fer, et la power ballad "Blessed Are You", véritablement tenu à bout de bras par Barlow qui y étale tout son lyrisme sur les titres lents.
Mais que se passe-t-il ? Mesdames et messieurs, c’est incroyable, venu du diable veau vert, surgit pour coiffer tout le monde sur le poteau une trilogie ahurissante dénommée "Something Wicked". Il semble que nous allons assister à un final semblable à la course précédente ("The Dark Saga", remportée par une autre trilogie). Et bien oui, trois titres pour mettre tout le monde d’accord, trois titres qui en une vingtaine de minutes ( !!!) résume toutes les facettes d’Iced Earth, successivement (et dans le désordre) calme, grandiose, speed trash, ultra heavy mais toujours mélodique.
Définitivement "Something Wicked" frappe un grand coup et remporte haut la main cette nouvelle épreuve. Signalons au passage l’excellente tenue durant toute la compétition des chœurs et claviers conférant à l’ensemble une ambiance unique. Félicitations aux guitaristes qui ont contribué par leurs rythmiques incisives et leurs parties solos jamais ennuyeuses, à animer la course. Mention toute particulière à Matt Barlow, qui atteint son apogée sur cet album.
Notre seul regret sera donc cet algorithme un peu pauvret rapide/lent/rapide/lent pendant la première partie de l’épreuve. Un défaut tactique qu’il faudra rectifier. Par contre, l’artwork (signé Capullo & Smith) est comme de coutume très réussi.
"Something Wicked This Way Comes", un bien beau trophée, un bien beau vainqueur pour une bien belle épreuve. Iced Earth, un rendez-vous désormais incontournable du circuit métal ! A vous les studios !
"Amis turfistes bonjour ! Bienvenue pour ce qui devrait constituer l’un des sommets de la saison métallique 1998 à savoir le grand prix Iced Earth autrement surnommé "Something Wicked This Way Comes".
Je vous rappelle que ce trophée est ouvert à toutes les compositions du guitariste Jon Schaffer (parfois secondé par ces petits camarades), personnage étrange, monstre de détermination, ce qui le pousse parfois à des débordements aussi surprenants que ridicules (notamment une vision de l’histoire assez particulière), mais nous nous égarons et revenons au sujet d’aujourd’hui, à savoir la cinquième course du groupe.
Sur la ligne de départ, les titres sont sagement alignés. On sent toutefois une certaine nervosité poindre à l’approche du signal de départ. Attention, top c’est parti, et tout de suite "Burning Times" prend le commandement des opérations avec un refrain très accrocheur. Jon schaffer annonce d’emblée la couleur, il est capable d’annihiler toute la concurrence à coups de riffs dévastateurs (il le rappellera assez violemment sur les titres "Stand Alone" ou "My Own Savior"). Mais voici que survient "Melancholy" qui ralentit considérablement le tempo, superbement mené par Matt Barlow, chanteur aussi impressionnant physiquement (quelle tignasse rousse !) que vocalement (les intonations à la Paul Stanley au service d’un chant puissant et heavy sont absolument incroyables en particulier sur "Consequences"). Mais soudain, grosse accélération, "Disciples Of The Lie" passe en tête pour nous asséner un bon gros trash (qui ne tâche pas). Et rebelote on calme tout le monde avec "Watching over me". Il semble que toute la course va se faire sur cette alternance de tempos tour à tour rapides et lents. Cela en devient prévisible et gâche un peu le plaisir que peuvent donner séparément des morceaux tels que "Conséquences" "Reaping Stone" ou encore "Stan Alone".
Attardons-nous sur les concurrents "1776", superbe instrumental très inspiré avec des parties de guitares que ne renierait pas la Vierge de Fer, et la power ballad "Blessed Are You", véritablement tenu à bout de bras par Barlow qui y étale tout son lyrisme sur les titres lents.
Mais que se passe-t-il ? Mesdames et messieurs, c’est incroyable, venu du diable veau vert, surgit pour coiffer tout le monde sur le poteau une trilogie ahurissante dénommée "Something Wicked". Il semble que nous allons assister à un final semblable à la course précédente ("The Dark Saga", remportée par une autre trilogie). Et bien oui, trois titres pour mettre tout le monde d’accord, trois titres qui en une vingtaine de minutes ( !!!) résume toutes les facettes d’Iced Earth, successivement (et dans le désordre) calme, grandiose, speed trash, ultra heavy mais toujours mélodique.
Définitivement "Something Wicked" frappe un grand coup et remporte haut la main cette nouvelle épreuve. Signalons au passage l’excellente tenue durant toute la compétition des chœurs et claviers conférant à l’ensemble une ambiance unique. Félicitations aux guitaristes qui ont contribué par leurs rythmiques incisives et leurs parties solos jamais ennuyeuses, à animer la course. Mention toute particulière à Matt Barlow, qui atteint son apogée sur cet album.
Notre seul regret sera donc cet algorithme un peu pauvret rapide/lent/rapide/lent pendant la première partie de l’épreuve. Un défaut tactique qu’il faudra rectifier. Par contre, l’artwork (signé Capullo & Smith) est comme de coutume très réussi.
"Something Wicked This Way Comes", un bien beau trophée, un bien beau vainqueur pour une bien belle épreuve. Iced Earth, un rendez-vous désormais incontournable du circuit métal ! A vous les studios !
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