JOE BONAMASSA : Live At The Hollywood Bowl (2024)
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JOE BONAMASSA : Live At The Hollywood Bowl (2024)
JOE BONAMASSA : Live At The Hollywood Bowl (2024)
Joe Bonamassa, souvent décrit ailleurs comme ayant le charisme d'une Marenne d'Oléron ou bien encore un jeu de guitare très limité, bourreau de travail, s'il en est, n'a de cesse de publier régulièrement des albums qui, n'en déplaise aux détracteurs, s'avèrent être d'excellente facture. Les Antis vont être encore d'autant plus furieux qu'une semaine auparavant vient de sortir le 5ème album de Black Country Communion intitulé de façon originale......"V".
Vous n'êtes pas sans savoir que notre homme aime s'acquitter de prestations en des lieux mythiques et là, pour le coup, c'est le Hollywood Bowl rendu célèbre par les Beatles, Jimi Hendrix et les Doors qu'il a décidé de brancher les amplis. Comme il aime aussi voir les choses en grand, le Bona a invité a invité un orchestre classique dirigé par David Campbell, ce dernier ayant travaillé précédemment avec Muse, Metallica, Linkin Park, Kiss, Bon Jovi, Evanescence pour ne citer qu'eux.
La rencontre de ces deux mondes est étonnante même si on eut voulu que la part de l'orchestre classique eût été un peu plus prépondérante comme elle l'est sur l'ouverture de When One Door Opens ou If Heartaches Were Nickels (un titre que je trouvais déjà magnifique). Aux keyboards, on a toujours le fidèle parmi les fidèles à savoir Reese Wynans qui se fend d'interventions pour le moins harmonieuses et subtiles. A la guitare, pour l'avoir vu joué en avril dernier, ne pas oublier le remarquable Josh Smith qui nous propose des solos d'une exceptionnelle qualité. Les deux choristes, elles aussi, que j'ai vues cette année à Paris, à savoir Jade McRae et Dannielle Deandra nous envoûtent de leur voix enjôleuse. Si je voulais parler de grands moments concernant ce Live At The Hollywood Bowl, j'aurais envie de les citer tous mais soyons objectifs, nous nous en tiendrons uniquement à ce The Last Matador Of Bayonne où Bona rayonne de toute sa virtuosité, If Hearts Were Nickels particulièrement beau à pleurer, le classique The Ballad Of John Henry sur lequel l'orchestre fait une intervention remarquée et le final Sloe Gin lui aussi, interprété en douceur avec une émotion palpable. On sort de là sous le charme du Bona qui n'aura pas fini de nous étonner pour ce dernier titre qui constitue une conclusion idéale pour cet énième live (diront ses opposants) produit de main de maître par l'ami Kevin 'The Caveman' Shirley. Superbe sortie que ce live !!!!!!
LP
Joe Bonamassa, souvent décrit ailleurs comme ayant le charisme d'une Marenne d'Oléron ou bien encore un jeu de guitare très limité, bourreau de travail, s'il en est, n'a de cesse de publier régulièrement des albums qui, n'en déplaise aux détracteurs, s'avèrent être d'excellente facture. Les Antis vont être encore d'autant plus furieux qu'une semaine auparavant vient de sortir le 5ème album de Black Country Communion intitulé de façon originale......"V".
Vous n'êtes pas sans savoir que notre homme aime s'acquitter de prestations en des lieux mythiques et là, pour le coup, c'est le Hollywood Bowl rendu célèbre par les Beatles, Jimi Hendrix et les Doors qu'il a décidé de brancher les amplis. Comme il aime aussi voir les choses en grand, le Bona a invité a invité un orchestre classique dirigé par David Campbell, ce dernier ayant travaillé précédemment avec Muse, Metallica, Linkin Park, Kiss, Bon Jovi, Evanescence pour ne citer qu'eux.
La rencontre de ces deux mondes est étonnante même si on eut voulu que la part de l'orchestre classique eût été un peu plus prépondérante comme elle l'est sur l'ouverture de When One Door Opens ou If Heartaches Were Nickels (un titre que je trouvais déjà magnifique). Aux keyboards, on a toujours le fidèle parmi les fidèles à savoir Reese Wynans qui se fend d'interventions pour le moins harmonieuses et subtiles. A la guitare, pour l'avoir vu joué en avril dernier, ne pas oublier le remarquable Josh Smith qui nous propose des solos d'une exceptionnelle qualité. Les deux choristes, elles aussi, que j'ai vues cette année à Paris, à savoir Jade McRae et Dannielle Deandra nous envoûtent de leur voix enjôleuse. Si je voulais parler de grands moments concernant ce Live At The Hollywood Bowl, j'aurais envie de les citer tous mais soyons objectifs, nous nous en tiendrons uniquement à ce The Last Matador Of Bayonne où Bona rayonne de toute sa virtuosité, If Hearts Were Nickels particulièrement beau à pleurer, le classique The Ballad Of John Henry sur lequel l'orchestre fait une intervention remarquée et le final Sloe Gin lui aussi, interprété en douceur avec une émotion palpable. On sort de là sous le charme du Bona qui n'aura pas fini de nous étonner pour ce dernier titre qui constitue une conclusion idéale pour cet énième live (diront ses opposants) produit de main de maître par l'ami Kevin 'The Caveman' Shirley. Superbe sortie que ce live !!!!!!
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