HANOI ROCKS Two Steps from The Move (1984 reissue 2015)
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HANOI ROCKS Two Steps from The Move (1984 reissue 2015)
Le Chant du Cygne… tel est le qualificatif approprié que l’on peut employer au sujet de l’album « Two Steps from the Move » des Finlandais d’HANOÏ ROCKS. En effet, c’est en Août 1984 que sortira l’album ultime (au sens propre comme au sens figuré) d’HANOÏ ROCKS.
Ici, je parlerai de la réédition du label Anglais, Rock Candy Records, qui outre un joli livret de 20 pages qui agrémente cette réédition, nous propose l’album remasterisé et accompagné, rien de moins, que par un deuxième CD bonus de 11 titres.
Après des débuts difficiles en Finlande et en Suède (cf. chronique de la Boxset 3 CDs « Johana Years 1980-1984 ») c’est suite à son exil en Angleterre qu’ HANOÏ ROCKS trouvera un certain succès et un début de reconnaissance. Début de reconnaissance suffisant pour décrocher le Saint Graal de tout groupe : la signature sur une Major Company. Après que le groupe ai refusé l’offre de Chrysalis, c’est CBS qui dégainera son offre et les signera, et ce, malgré la réputation plus que sulfureuse du quintet Finlandais en ce qui concerne leurs maints excès de drogues et d’alcools.
C’est à Bob EZRIN, alors producteur on ne peut plus renommé (AEROSMITH, ALICE COOPER, KISS…), qu’il incombera la tâche de tirer la quintessence créatrice des Finlandais délurés.
Ayant très peu de nouveaux titres, EZRIN insistera pour réarrangé certains anciens morceaux et changera également à la dernière minute le titre de l’album de « Silver Missiles and Nightingales » initialement prévu et jugé trop poétique par « Two Steps from the Move » jugé plus rock ‘n’ Roll.
L’album débute par une somptueuse reprise : « Up around the Bend » un morceau des CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL suite à la demande de CBS d’avoir un hit single. Morceau enregistré en une journée à Londres alors que l’album était déjà fini. Ce morceau Glam à souhait avec son rythme endiablé est une entrée en matière remarquable que l’on croirait écrite par le groupe. Le morceau sera le 1er single du groupe pour cet album.
« Highschool » le morceau suivant est en fait la réadaptation d’une des toutes premières chansons écrites par HANOÏ ROCKS au début des années 1980 et alors intitulé « Quit the School ». Chanson énergique s’il en est, magnifié par la production du Maitre EZRIN avec son final enlevé.
« I can’t Get It » avec sa rythmique syncopé et lourde (faisant penser à certains groupes Punk des 70’s/80’s) emmenée par RAZZLE à la batterie et Sami YAFFA à la basse est un tempo medium relativement envoutant.
Suit « Underwater World », qui comme le morceau précédent, sera coécrit avec Ian HUNTER, est un des fleurons de l’album avec ce son de guitare envoutant du binôme Nasty SUICIDE et Andy McCOY… et le célèbre couplet :
‘’Welcome to the ocean
Welcome to the sea, yeah
Welcome to the jungle
Deep inside of me, yeah’’
Tiens, tiens, cela me rappelle une célèbre chanson d’un non moins célèbre groupe américain qui n’a jamais caché sa fascination pour les Finlandais (qui sans eux n’aurait peut être pas existé selon leur chanteur) ; je parle bien sur des GUNS ‘N’ ROSES qui tirera de ce couplet le titre d’une de leur célèbre chanson, j’ai nommé « Welcome to the Jungle »
La ballade qui suit, « Don’t You Ever Leave Me » est le réenregistrement et l’amélioration d’un morceau de leur premier album. C’est EZRIN qui a insisté pour que le morceau soit remanié par le groupe et réenregistré, ralentissant le tempo et lui donnant un côté moins brut.
Le titre suivant est devenu un titre mythique du groupe : « Million Miles Away ». Oscillant entre tempo lent et medium, la voix de Michael MONROE y est posé comme jamais. De plus, il magnifiera le morceau avec son saxophone tandis que Nasty SUICIDE se chargera du solo de guitare. Le morceau plait beaucoup au label même si McCOY rouspète tant et plus car il ne sait comment le groupe pourra restituer les chœurs somptueux en Live. Il faut dire que c’est un morceau qu’il à lui même composé à la fin des 70’s et s’intitulait alors « Can’t Get Enough »
« Boulevard of Broken Dreams » est plus classique et ne dépareillerait pas sur leur précédent opus, le très bon « Back to Mystery City ». Bon gros rock à la sauce glamisante.
« Boiler (Me Boiler ‘n’ Me) » semble tout droit sorti des tréfonds du temps et des pionniers du Glam : croisement sulfureux entre du T-REX et du NEW YORK DOLLS…bref un morceau efficace a la ligne de chant fédératrice car chantée en cœur par tout le groupe.
L’endiablé « Futurama » est un de ses morceaux qu’HANOÏ ROCKS exhumera de son passé mais encore jamais enregistré. Morceau qui claque et est assez rentre dedans et qui trouverait aisément sa place sur le 1er album du groupe en 1980.
Le très rock « Cutting Corners » est le morceau suivant… classique certes, mais savamment orchestré par le producteur et tout autant savamment exécuté par le groupe.
L’album se finit avec le morceau qui m’accroche le moins, l’éponyme « Two Steps from the Move » qui malgré sa rythmique travaillé et son harmonica ne ma jamais fait décoller. Morceau qui initialement n’était par sur le LP.
En ce qui concerne le deuxième disque, les 11 titres sont disparates.
Nous avons droits en ouverture à la version Single de « Don’t You Ever Leave Me » et ses ajouts en langue Espagnol chanté par Andy McCOY lui même … du meilleur effet il faut le dire.
Puis s’enchaine 3 versions Live (B-side) de « Back to Mystery City », titre éponyme de leur précédent album studio… puis « Until I Get You » joliment interprété et « Mental Beat ».
Suivent 3 Japan (B-side) avec l’envoutant et non moins excellent avec son univers particulier « Oil and Gasoline » agrémenté d’un très joli solo de saxophone du Sieur MONROE. Titre qui sera repris par McCOY quand il formera les CHERRY BOMBZ.
Puis vient l’Espanisant et lent « Magic Carpet Ride » et son univers bien à lui.
« Shakes » quant à elle, est une chanson qui porte on ne peut mieux son titre. En effet, il s’agit d’un titre dans la veine Glam survitaminé avec rythmique simple et efficace, tambourin et refrain entêtant. Un morceau festif et qui aurai mérité mieux qu’une B-side.
Pour finir ce CD Bonus, il ya 4 titres issus du BBC Rock Show : « I can’t Get It », « Underwater World », « Don’t You Ever Leave Me » et « Boulevard of Broken Dreams ». Ces 4 morceaux étant magnifiquement interprétés par nos 5 Finlandais.
Même si les chroniques furent élogieuses et si le groupe commença une tournée mondiale qui commençait à rencontrer le succès, suite à la mort accidentel de leur batteur RAZZLE, le groupe implosa… et entra ainsi dans la légende et le panthéon de la musique. Bon nombre de groupes de la scène Glam Metal proclamèrent qu’HANOÏ ROCKS était une de leurs principales influences, ce qui, était loin de plaire aux anciens membres du groupe qui rejetèrent cette filiation forcé sauf pour quelques rares élus comme le GUNS N ROSES, BACKYARD BABIES…etc…
Un album à découvrir ou redécouvrir d’urgence. Sans le split du groupe, il est fort à parier qu’HANOÏ ROCKS serait devenu énorme et des superstars au lieu de n’être qu’un des précurseurs de cette scène Glam qui lancera nombre de groupes colorés comme POISON, PRETTY BOY FLOYD, ALLEYCAT SCRATCH, ROXX GANG … et plein d’autres.
NOTE : 9/10
Dernière édition par Nikkö KRAZZY le Jeu 21 Jan - 20:53, édité 3 fois
Re: HANOI ROCKS Two Steps from The Move (1984 reissue 2015)
je l'aime cet album , une tuerie . je lui aurais mis un 10 sans soucis .
skual- ★★✩✩✩✩✩✩ Rockeur en herbe
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Re: HANOI ROCKS Two Steps from The Move (1984 reissue 2015)
11/10 ! Tellement le live est tout aussi délectable ! Acheté en vinyle en Angleterre à l'époque alors que je ne connaissais le groupe que suite à l'accident de voiture de Vince Neil dans lequel Razzle Dingley était mort. Du jour au lendemain, j'ai arrêté d'écouter Motley (je sais c’est con comme réaction, mais quand on est ado, on n'est pas toujours très fin) et j'ai mis longtemps avant d'y revenir.
Sans cette tragédie, je pense vraiment qu'Hanoi Rocks aurait pu devenir énorme (et G'n'R leur doit énormément !)
Sans cette tragédie, je pense vraiment qu'Hanoi Rocks aurait pu devenir énorme (et G'n'R leur doit énormément !)
Re: HANOI ROCKS Two Steps from The Move (1984 reissue 2015)
Voic la chro que j'avais rédigée en 2007 pour cet album (uniquement le studio, sans aborder le live) Chronique parue sur METAL SICKNESS
"Two Steps From The Move", c’est un monument trop peu reconnu, à la gloire du rock’n’roll, signé Hanoi Rocks.
Hanoi Rocks, le nom vous dit peut-être quelque chose. C’est ce groupe dont l’histoire a surtout retenu le fait que son batteur Razzle Dingley, trouva la mort dans un accident de la route, dans une voiture conduite par un certain Vince Neil, la poupée péroxydée de Motley Crue. Cette tragédie allait briser nette la carrière du combo finlandais et faire une pub terrible aux américains. Drôle de destin !
En 1984, après plusieurs disques qui avaient donné au gang mené par Mike Monroe (une sorte d’ersatz masculin de Marilyn en version triphasée) une bonne assise en Scandinavie, Hanoi Rocks, soutenue par une major (CBS), s’apprête à conquérir le monde, sous la houlette de Bob Ezrin (Alice Cooper, Pink Floyd, Lou Reed).
Bénéficiant enfin d’une prod à la hauteur et d’un line-up de rêve (un chanteur androgyne et extraverti, un duo de gratteux aussi complémentaires qu’efficaces à la manière des tandems Perry/whitford ou K.Richard/B.Jones, et une paire rythmique complètement allumée), Hanoi Rocks nous balance une véritable leçon de rock en dix chapitres.
On commence par une version survitaminée du classique de Creedence Clearwater Revival "Up Around The Bend". Autant vous dire tout de suite qu’après ça, vous aurez beaucoup de mal à réécouter l’original ! On accélère un peu le tempo, on en fait des tonnes sur les chœurs et la batterie et l’affaire est dans le sac. Mais c’est à partir du second morceau que la machine s’emballe vraiment. "High School" déboule dans une descente de toms de batterie qui annonce un règlement de compte en règle avec l’institution scolaire. Vindicatif, ironique, Mike Monroe se déchaine sur un titre étonnamment radiophonique (pourtant ça envoie sévère). On découvre aussi le style inimitable d’Andy Mc Coy dont les solos éclaireront tout l’album. On sent aussi l’apport de Bob Ezrin qui parvient à canaliser toute l’énergie du groupe et qui a considérablement peaufiné les chansons.
"I Can’t Get It" et son riff aussi basique que le refrain est énorme (et le solo de guitare…pfff énorme aussi !). Plus ambitieux musicalement, "Underwater World" poursuit dans la veine refrain terrible (avec cette phrase hallucinante : "Welcome to the jungle" bien avant qui vous savez).
A cette époque là (vous avez déjà vu ces drôles de galettes noires qu’on appelait disques vinyles ?), la fin de la première face était très souvent l’emplacement réservé au slow qui tue (vous avez déjà vu ces couples enlacés tournant sur eux-mêmes à 2 à l’heure, occasion rêvée d’un tripotage en règle, voire d’un échange labiale prolongé ? Non, pauvre jeunesse !). "Don’t Your Ever Leave Me Now" ne déroge pas à la règle et Monroe est tout simplement superbe sur ce titre classique et une nouvelle fois ponctué d’une intervention guitaristique pleine de feeling (je sais c’est à chaque fois).
Ensuite, est-ce l’effet de la drogue ou de l’alcool (ou plus sûrement des deux à la fois), surgit "Million Miles Away", qui démarre comme un slow un peu lourdingue que Monroe vient enjoliver d’un solo de saxo. Et puis d’un seul coup, on part sur un rythme beaucoup plus "dansant", Mc Coy se met à tirer sur tout ce qui bouge, on enchaîne sur un refrain très bien mais qui ne ressemble pas au reste. D’un seul coup, Razzle fait un énorme appel pour que tout le monde revienne sur le tempo de départ et…le morceau s’arrête là ! N’importe quoi, mais vachement bien. Une sorte de gros foutage de gueule sur les morceaux langoureux.
Après cette accalmie, il est temps de revenir à du rock qui tache. C’est chose faite avec "Boulevard Of Broken Dreams" (rien à voir avec le morceau du même titre de Green Day). Ca riff de tous côtés, ça beugle sur les chœurs, bref on s’éclate !
On termine en ligne droite avec les trois derniers titres :
"Boiler" plus glam, tu meurs. Simplissime, et jouissif quand Monroe prend une petite voix d’ingénu ! Mc Coy est encore génial (dans le genre sous-estimé, lui il se pose là).
"Futurama" on met le compteur à fond, on fonce tout droit et on se retrouve à la sortie (avec entre temps un nouveau grand numéro de six-cordes et de halètements d’un Monroe déchaîné). Une tuerie absolument irrésistible !
On clôt les débats avec un "Cutting Corners" que beaucoup de groupes considéreraient comme le plus gros hit de leur carrière. Un morceau festif où le saxo vient nous saluer et qui sent la grosse éclate de fin de session.
Voilà, on a fait le tour du monument. Précipitez vous dessus et vous comprendrez que bien des groupes phares des années 80 ont dû beaucoup l’écouter. Comme quoi la gloire, c’est aussi une affaire de chance et de timing. Deux éléments qui auront manqué à Hanoi Rocks. Dommage, car le talent, ils l’avaient, EUX !
"Two Steps From The Move", c’est un monument trop peu reconnu, à la gloire du rock’n’roll, signé Hanoi Rocks.
Hanoi Rocks, le nom vous dit peut-être quelque chose. C’est ce groupe dont l’histoire a surtout retenu le fait que son batteur Razzle Dingley, trouva la mort dans un accident de la route, dans une voiture conduite par un certain Vince Neil, la poupée péroxydée de Motley Crue. Cette tragédie allait briser nette la carrière du combo finlandais et faire une pub terrible aux américains. Drôle de destin !
En 1984, après plusieurs disques qui avaient donné au gang mené par Mike Monroe (une sorte d’ersatz masculin de Marilyn en version triphasée) une bonne assise en Scandinavie, Hanoi Rocks, soutenue par une major (CBS), s’apprête à conquérir le monde, sous la houlette de Bob Ezrin (Alice Cooper, Pink Floyd, Lou Reed).
Bénéficiant enfin d’une prod à la hauteur et d’un line-up de rêve (un chanteur androgyne et extraverti, un duo de gratteux aussi complémentaires qu’efficaces à la manière des tandems Perry/whitford ou K.Richard/B.Jones, et une paire rythmique complètement allumée), Hanoi Rocks nous balance une véritable leçon de rock en dix chapitres.
On commence par une version survitaminée du classique de Creedence Clearwater Revival "Up Around The Bend". Autant vous dire tout de suite qu’après ça, vous aurez beaucoup de mal à réécouter l’original ! On accélère un peu le tempo, on en fait des tonnes sur les chœurs et la batterie et l’affaire est dans le sac. Mais c’est à partir du second morceau que la machine s’emballe vraiment. "High School" déboule dans une descente de toms de batterie qui annonce un règlement de compte en règle avec l’institution scolaire. Vindicatif, ironique, Mike Monroe se déchaine sur un titre étonnamment radiophonique (pourtant ça envoie sévère). On découvre aussi le style inimitable d’Andy Mc Coy dont les solos éclaireront tout l’album. On sent aussi l’apport de Bob Ezrin qui parvient à canaliser toute l’énergie du groupe et qui a considérablement peaufiné les chansons.
"I Can’t Get It" et son riff aussi basique que le refrain est énorme (et le solo de guitare…pfff énorme aussi !). Plus ambitieux musicalement, "Underwater World" poursuit dans la veine refrain terrible (avec cette phrase hallucinante : "Welcome to the jungle" bien avant qui vous savez).
A cette époque là (vous avez déjà vu ces drôles de galettes noires qu’on appelait disques vinyles ?), la fin de la première face était très souvent l’emplacement réservé au slow qui tue (vous avez déjà vu ces couples enlacés tournant sur eux-mêmes à 2 à l’heure, occasion rêvée d’un tripotage en règle, voire d’un échange labiale prolongé ? Non, pauvre jeunesse !). "Don’t Your Ever Leave Me Now" ne déroge pas à la règle et Monroe est tout simplement superbe sur ce titre classique et une nouvelle fois ponctué d’une intervention guitaristique pleine de feeling (je sais c’est à chaque fois).
Ensuite, est-ce l’effet de la drogue ou de l’alcool (ou plus sûrement des deux à la fois), surgit "Million Miles Away", qui démarre comme un slow un peu lourdingue que Monroe vient enjoliver d’un solo de saxo. Et puis d’un seul coup, on part sur un rythme beaucoup plus "dansant", Mc Coy se met à tirer sur tout ce qui bouge, on enchaîne sur un refrain très bien mais qui ne ressemble pas au reste. D’un seul coup, Razzle fait un énorme appel pour que tout le monde revienne sur le tempo de départ et…le morceau s’arrête là ! N’importe quoi, mais vachement bien. Une sorte de gros foutage de gueule sur les morceaux langoureux.
Après cette accalmie, il est temps de revenir à du rock qui tache. C’est chose faite avec "Boulevard Of Broken Dreams" (rien à voir avec le morceau du même titre de Green Day). Ca riff de tous côtés, ça beugle sur les chœurs, bref on s’éclate !
On termine en ligne droite avec les trois derniers titres :
"Boiler" plus glam, tu meurs. Simplissime, et jouissif quand Monroe prend une petite voix d’ingénu ! Mc Coy est encore génial (dans le genre sous-estimé, lui il se pose là).
"Futurama" on met le compteur à fond, on fonce tout droit et on se retrouve à la sortie (avec entre temps un nouveau grand numéro de six-cordes et de halètements d’un Monroe déchaîné). Une tuerie absolument irrésistible !
On clôt les débats avec un "Cutting Corners" que beaucoup de groupes considéreraient comme le plus gros hit de leur carrière. Un morceau festif où le saxo vient nous saluer et qui sent la grosse éclate de fin de session.
Voilà, on a fait le tour du monument. Précipitez vous dessus et vous comprendrez que bien des groupes phares des années 80 ont dû beaucoup l’écouter. Comme quoi la gloire, c’est aussi une affaire de chance et de timing. Deux éléments qui auront manqué à Hanoi Rocks. Dommage, car le talent, ils l’avaient, EUX !
Dernière édition par Spenser69 le Dim 21 Fév - 10:48, édité 1 fois
Re: HANOI ROCKS Two Steps from The Move (1984 reissue 2015)
J'ai connu HANOI avec "2 Steps..." au moment où il est sorti. Pour cela que j’aimais déja les NYD, SLADE, TREX puis aprés des groupe comme SILVERWING ou PET HATE. Ayant adoré rapidement le groupe et ayant acheté une partie de leur disco "Back...", "Saigon...", la mort de Nicolas Dingley "Razzle" m'a mis la haine et j'ai detesté MÖTLEY... et ce n'est qu'a l'album "Girls" acheté en LP d'occase, que je me suis mis a vraiment aimer le CRUE.Spenser69 a écrit: Du jour au lendemain, j'ai arrêté d'écouter Motley
Re: HANOI ROCKS Two Steps from The Move (1984 reissue 2015)
elle est cool ta chro spencer
skual- ★★✩✩✩✩✩✩ Rockeur en herbe
- ✐ Messages rédigés : 185
✎ Date d'inscription : 20/01/2016
Re: HANOI ROCKS Two Steps from The Move (1984 reissue 2015)
Merci !skual a écrit:elle est cool ta chro spencer
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