PRIMAL FEAR Live In The USA (2010)
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PRIMAL FEAR Live In The USA (2010)
Ah !! Enfin !! Il aura fallut 8 albums studios pour que PRIMAL FEAR daigne nous sortir un album live. Il y a bien eu un DVD en 2002, mais pas de CD à se coller entre les feuilles, sauf pour ceux qui avaient fait l'acquisition de l'Edition Spéciale d'History Of Fear. En cette année 2010, l'erreur est réparée. Oui car il s'agit bien d'une erreur, tant un live est indispensable dans la carrière d'un groupe de Metal.
Donc voila, le moment est venu de s'injecter une très grosse dose de heavy à la mode teutonne. Quelques mois après le Mastercutor Alive d'UDO l'occasion est belle de voir, et d'entendre surtout, si le Metal d'outre-Rhin s'impose toujours sur ce terrain.
Et bien je le dis tout de suite, PRIMAL FEAR nous assène là une bombe sonore à très forte déflagration. Tout comme je l'ai constaté lors des deux derniers passages du groupe en France (à Bordeaux seulement et grâce rappelons le aux gars de SIDEWINDER sans qui rien ne se serait passé), ça bastonne sévère et ces gars là savent y faire.
Mené par le monolithique Ralf SHEEPERS, soutenu par ce qui se fait certainement de mieux en section rythmique en Heavy (Matt SINNER à la basse et Randy BLACK aux fûts) et épaulé aux ailes par une doublette de gratteux pas manchots (Henny WOLTER et le remplaçant de luxe Alex BEYRODT qui palie l'absence de Magnus KARLSSON), PRIMAL FEAR passe en revue la seconde partie de sa discographie, faisant la part (très) belle à son dernier opus : 16.6 dont pas moins de six brûlôts sont extraits. Dont hélas le dispensable Hands Of Time qui vient comme un cheveu dans la soupe couper l'élan donné par Metal Forever. Etrange choix.
Surtout quand d'excellents titres sont restés aux vestiaires, et pas un de Seven Seals n'est joué (perso je regrette l'absence de Rollercoaster qui fait un malheur sur scène) même si le titre éponyme est présent sur le DVD. Et pourquoi pas sur le CD ???
Appuyez sur PLAY et vous êtes partis pour plus de 70mns de pure "tuerie". Après l'intro (ce que c'est gonflant cette manie) l'enchainement de la trilogie Under The radar, Battalions Of hate, Killbound va vous laisser pratiquement sur le carreau. Cervicales en vrac et pieds en fusion d'avoir taper par terre. Rien qu'avec ça l'achat est rentabilisé. Waouh quelle intensité, quel son. La production signée Matt SINNER est en béton, même si Under The Radar est un peu en dessous, et que le public est très en retrait. Ces gars là, c'est clair, ne font pas de prisonniers.
Les titres, les tubes se suivent et enfoncent le clou. La set-list est discutable selon les goûts et aspirations de chacun, mais ça tient foutrement bien la route. Ralf est très en voix et à ses côtés l'artillerie lourde est de mise (Sign Of Fear, Riding The Eagle, Metal Is Forever).
Avec une invitée de grande qualité sur le fabuleux Fighting The Darkness, Pamela MOORE (oui, l'inoubliable Sister Mary de QUEENSRYCHE). Chainbreaker termine cet ouvrage de destruction et nous laisse vidés.
Alors oui, évidemment, ici pas de finesse, pas de fioritures. C'est du Metal, (Heavy ou Speed ou Power selon vos goûts ou étiquettes) du pur, du lourd. C'est tout ce qu'on attend d'un CD de PRIMAL FEAR non ?.
Pour terminer, même si le combo est à féliciter dans son ensemble, deux sont au dessus du lot : Ralph pour sa présence et tenue tout au long (par moment cependant il prend un voix de gorge qui pourrait le faire passer pour Rob ROCK) et le métronome destructeur : Randy BLACK est impérial, comme toujours ajouterais-je. Un excellent live teinté de références au PRIEST et à ACCEPT par exemple qui en matière de jeu live sont à la pointe.
De quoi vous inciter à voir PRIMAL FEAR "on stage". En attendant ce live est fait pour vous
Agreuh - 10.08.2010
Musiciens: Ralf Scheepers (Chant)/ Mat Sinner (Basse)/ Alex Beyrodt (Guitare)/ Henny Wolter (Guitare)/ Randy Black (Batterie)
Producteur: Matt Sinner
Label: Frontiers Records
01. Before The Devil Knows You're Dead
02. Under The Radar
03. Battalions of Hate
04. Killbound
05. Nuclear fire
06. Six Times Dead (16.6)
07. Angels in Black
08. Sign of Fear
09. Fighting the Darkness
10. Riding The Eagle
11. Final Embrace
12. Metal is Forever
13. Hands of Time
14. Chainbreaker
Donc voila, le moment est venu de s'injecter une très grosse dose de heavy à la mode teutonne. Quelques mois après le Mastercutor Alive d'UDO l'occasion est belle de voir, et d'entendre surtout, si le Metal d'outre-Rhin s'impose toujours sur ce terrain.
Et bien je le dis tout de suite, PRIMAL FEAR nous assène là une bombe sonore à très forte déflagration. Tout comme je l'ai constaté lors des deux derniers passages du groupe en France (à Bordeaux seulement et grâce rappelons le aux gars de SIDEWINDER sans qui rien ne se serait passé), ça bastonne sévère et ces gars là savent y faire.
Mené par le monolithique Ralf SHEEPERS, soutenu par ce qui se fait certainement de mieux en section rythmique en Heavy (Matt SINNER à la basse et Randy BLACK aux fûts) et épaulé aux ailes par une doublette de gratteux pas manchots (Henny WOLTER et le remplaçant de luxe Alex BEYRODT qui palie l'absence de Magnus KARLSSON), PRIMAL FEAR passe en revue la seconde partie de sa discographie, faisant la part (très) belle à son dernier opus : 16.6 dont pas moins de six brûlôts sont extraits. Dont hélas le dispensable Hands Of Time qui vient comme un cheveu dans la soupe couper l'élan donné par Metal Forever. Etrange choix.
Surtout quand d'excellents titres sont restés aux vestiaires, et pas un de Seven Seals n'est joué (perso je regrette l'absence de Rollercoaster qui fait un malheur sur scène) même si le titre éponyme est présent sur le DVD. Et pourquoi pas sur le CD ???
Appuyez sur PLAY et vous êtes partis pour plus de 70mns de pure "tuerie". Après l'intro (ce que c'est gonflant cette manie) l'enchainement de la trilogie Under The radar, Battalions Of hate, Killbound va vous laisser pratiquement sur le carreau. Cervicales en vrac et pieds en fusion d'avoir taper par terre. Rien qu'avec ça l'achat est rentabilisé. Waouh quelle intensité, quel son. La production signée Matt SINNER est en béton, même si Under The Radar est un peu en dessous, et que le public est très en retrait. Ces gars là, c'est clair, ne font pas de prisonniers.
Les titres, les tubes se suivent et enfoncent le clou. La set-list est discutable selon les goûts et aspirations de chacun, mais ça tient foutrement bien la route. Ralf est très en voix et à ses côtés l'artillerie lourde est de mise (Sign Of Fear, Riding The Eagle, Metal Is Forever).
Avec une invitée de grande qualité sur le fabuleux Fighting The Darkness, Pamela MOORE (oui, l'inoubliable Sister Mary de QUEENSRYCHE). Chainbreaker termine cet ouvrage de destruction et nous laisse vidés.
Alors oui, évidemment, ici pas de finesse, pas de fioritures. C'est du Metal, (Heavy ou Speed ou Power selon vos goûts ou étiquettes) du pur, du lourd. C'est tout ce qu'on attend d'un CD de PRIMAL FEAR non ?.
Pour terminer, même si le combo est à féliciter dans son ensemble, deux sont au dessus du lot : Ralph pour sa présence et tenue tout au long (par moment cependant il prend un voix de gorge qui pourrait le faire passer pour Rob ROCK) et le métronome destructeur : Randy BLACK est impérial, comme toujours ajouterais-je. Un excellent live teinté de références au PRIEST et à ACCEPT par exemple qui en matière de jeu live sont à la pointe.
De quoi vous inciter à voir PRIMAL FEAR "on stage". En attendant ce live est fait pour vous
Agreuh - 10.08.2010
Musiciens: Ralf Scheepers (Chant)/ Mat Sinner (Basse)/ Alex Beyrodt (Guitare)/ Henny Wolter (Guitare)/ Randy Black (Batterie)
Producteur: Matt Sinner
Label: Frontiers Records
01. Before The Devil Knows You're Dead
02. Under The Radar
03. Battalions of Hate
04. Killbound
05. Nuclear fire
06. Six Times Dead (16.6)
07. Angels in Black
08. Sign of Fear
09. Fighting the Darkness
10. Riding The Eagle
11. Final Embrace
12. Metal is Forever
13. Hands of Time
14. Chainbreaker
AGREUH- ★★★✩✩✩✩✩ Rockeur en herbe
- ✐ Messages rédigés : 327
✎ Date d'inscription : 20/01/2016
☠︎ Votre âge ? : 64
⛫ D'où venez-vous ? : ROUEN
Re: PRIMAL FEAR Live In The USA (2010)
Et hop, encore d'accord avec Agreuh ! (décidément, quel constat aussi original qu'un disque de ... Primal Fear). juin 2010
"Commençons par un petit jeu ! Nous allons nous divertir follement en cherchant l’intrus parmi ces éléments : heavy metal allemand – grosses rythmiques – Refrains guerriers – surprises. Je vous laisse chercher trois secondes, ça y est, vous y êtes ? Oui, c’est bien vous avez trouvé…
Après "16.6 (Before The Devil Knows You're Dead)" qui n’a pas vraiment déchaîné les passions, Primal Fear tente de revenir sur le devant de la scène avec ce "Live In The USA" (et un DVD "All Over The World"). Toujours emmené par le vocaliste Ralf Scheepers, qui est définitivement le meilleur atout du combo, le groupe nous livre une sorte de best of live de la deuxième moitié de sa carrière. Et la surprise du chef, c’est…qu’il n’y en a aucune !
Donc, on ne va pas s’éterniser. Les fans seront ravis de retrouver des titres toujours aussi fortement influencés par Accept et Judas Priest (franchement, il y a pire comme références), joués avec un professionnalisme irréprochable et une rigueur toute germanique (très bien assimilée par les éléments suédois et canadiens du combo). Le vocaliste reste un des piliers du metal européen, avec une interprétation puissante et variée, très bien épaulé qu’il est par Matt Sinner qui est bien mieux qu’un choriste de luxe en plus d’être un bassiste dont la complémentarité avec Randy Black (ex batteur d’Annihilator dont la double pédale chauffe très très souvent) n’est jamais prise en défaut (Oh putain cette intro sur "Sign Of Fear" !). Comme dirait un pote "Il n’y a pas à tortiller du cul pour chier droit", bon et bien là avec de telles personnalités, ça joue, ça tabasse sévère et sans états d’âme. Quitte à patauger allègrement dans tous les clichés du genre. Du coup, les détracteurs ne manqueront pas de faire remarquer que certaines compos sont limites caricaturales ("Riding The Eagle" "Metal Is Forever" rien que les titres laissent songeurs), Ralf Scheepers est probablement un des chanteurs les moins communicatifs du monde avec le public (ce qui fait un peu tâche sur un live) et que justement, le public, on ne l’entend pas beaucoup (excepté entre les morceaux, mais ça, c’est tellement facile à rajouter en studio que ça ne compte pas).
N’étant ni fan ni détracteur, je me situerai volontiers dans une position médiane, en disant tout de même que l’écoute de ce "Live In The USA" reste un très bon moment, notamment pour la qualité des refrains et l’abondance de guitares qui riffent à tout va et partent fréquemment dans des duels échevelés (de ce point de vue là, c’est l’orgasme assuré pour tous les die-hard de métal à l’ancienne et des doublettes comme Tipton/Downing ou Murray/Smith). Oui ça sent parfois le réchauffé, mais c’est tellement bien fait que ça passe sans problème. A la limite, ce disque constituera une excellente entrée en matière pour tous ceux qui ne connaissent pas encore le groupe, "Angel In Black" leur déboîtera la mâchoire avec le sourire, c’est toujours ça de pris !
Côté tempo, on varie en passant du mid-tempo au franchement rapide avec aisance, du bourrin au très mélodique, bref on se fait plaisir. "Sign Of Fear" est un rouleau compresseur qui vous aplatira avant LE moment calme "Fighting The Darkness" chantée en duo avec Pamela Moore (oui, vous savez, l’inoubliable Sister Mary sur "Operation Mindcrime" de Queensryche), un pure réussite qui vaut à elle seule l’acquisition de ce cd (tant pour la performance vocale que pour la longue partie instrumentale absolument grandiose). Plutôt pas indispensable sur le fond, "Hands Of Time" permet d’entendre les différents musiciens passer derrière le micro. Un sorte d’incongruité assez légère qui tranche avec le reste du répertoire et qui m’a fait le même effet que le "Sounds Good To Me" d’Annihilator. Voyez, en cherchant, j’ai fini par trouver une surprise ! Du coup, pour finir en beauté, Primal Fear revient à du très gras et heavy avec "Chainbreaker" qui mettra en lambeaux la robe de chambre de votre vieille voisine acariâtre.
Finalement, ce "Live In The USA" s’avère être une bonne piqûre de rappel (ou une initiation) à l’univers de Primal Fear et montre qu’on peut allier puissance, vitesse et mélodie. Il a surtout le mérite de nous rappeler que ce combo est une véritable machine de guerre implacable sur scène.
"Commençons par un petit jeu ! Nous allons nous divertir follement en cherchant l’intrus parmi ces éléments : heavy metal allemand – grosses rythmiques – Refrains guerriers – surprises. Je vous laisse chercher trois secondes, ça y est, vous y êtes ? Oui, c’est bien vous avez trouvé…
Après "16.6 (Before The Devil Knows You're Dead)" qui n’a pas vraiment déchaîné les passions, Primal Fear tente de revenir sur le devant de la scène avec ce "Live In The USA" (et un DVD "All Over The World"). Toujours emmené par le vocaliste Ralf Scheepers, qui est définitivement le meilleur atout du combo, le groupe nous livre une sorte de best of live de la deuxième moitié de sa carrière. Et la surprise du chef, c’est…qu’il n’y en a aucune !
Donc, on ne va pas s’éterniser. Les fans seront ravis de retrouver des titres toujours aussi fortement influencés par Accept et Judas Priest (franchement, il y a pire comme références), joués avec un professionnalisme irréprochable et une rigueur toute germanique (très bien assimilée par les éléments suédois et canadiens du combo). Le vocaliste reste un des piliers du metal européen, avec une interprétation puissante et variée, très bien épaulé qu’il est par Matt Sinner qui est bien mieux qu’un choriste de luxe en plus d’être un bassiste dont la complémentarité avec Randy Black (ex batteur d’Annihilator dont la double pédale chauffe très très souvent) n’est jamais prise en défaut (Oh putain cette intro sur "Sign Of Fear" !). Comme dirait un pote "Il n’y a pas à tortiller du cul pour chier droit", bon et bien là avec de telles personnalités, ça joue, ça tabasse sévère et sans états d’âme. Quitte à patauger allègrement dans tous les clichés du genre. Du coup, les détracteurs ne manqueront pas de faire remarquer que certaines compos sont limites caricaturales ("Riding The Eagle" "Metal Is Forever" rien que les titres laissent songeurs), Ralf Scheepers est probablement un des chanteurs les moins communicatifs du monde avec le public (ce qui fait un peu tâche sur un live) et que justement, le public, on ne l’entend pas beaucoup (excepté entre les morceaux, mais ça, c’est tellement facile à rajouter en studio que ça ne compte pas).
N’étant ni fan ni détracteur, je me situerai volontiers dans une position médiane, en disant tout de même que l’écoute de ce "Live In The USA" reste un très bon moment, notamment pour la qualité des refrains et l’abondance de guitares qui riffent à tout va et partent fréquemment dans des duels échevelés (de ce point de vue là, c’est l’orgasme assuré pour tous les die-hard de métal à l’ancienne et des doublettes comme Tipton/Downing ou Murray/Smith). Oui ça sent parfois le réchauffé, mais c’est tellement bien fait que ça passe sans problème. A la limite, ce disque constituera une excellente entrée en matière pour tous ceux qui ne connaissent pas encore le groupe, "Angel In Black" leur déboîtera la mâchoire avec le sourire, c’est toujours ça de pris !
Côté tempo, on varie en passant du mid-tempo au franchement rapide avec aisance, du bourrin au très mélodique, bref on se fait plaisir. "Sign Of Fear" est un rouleau compresseur qui vous aplatira avant LE moment calme "Fighting The Darkness" chantée en duo avec Pamela Moore (oui, vous savez, l’inoubliable Sister Mary sur "Operation Mindcrime" de Queensryche), un pure réussite qui vaut à elle seule l’acquisition de ce cd (tant pour la performance vocale que pour la longue partie instrumentale absolument grandiose). Plutôt pas indispensable sur le fond, "Hands Of Time" permet d’entendre les différents musiciens passer derrière le micro. Un sorte d’incongruité assez légère qui tranche avec le reste du répertoire et qui m’a fait le même effet que le "Sounds Good To Me" d’Annihilator. Voyez, en cherchant, j’ai fini par trouver une surprise ! Du coup, pour finir en beauté, Primal Fear revient à du très gras et heavy avec "Chainbreaker" qui mettra en lambeaux la robe de chambre de votre vieille voisine acariâtre.
Finalement, ce "Live In The USA" s’avère être une bonne piqûre de rappel (ou une initiation) à l’univers de Primal Fear et montre qu’on peut allier puissance, vitesse et mélodie. Il a surtout le mérite de nous rappeler que ce combo est une véritable machine de guerre implacable sur scène.
AGREUH- ★★★✩✩✩✩✩ Rockeur en herbe
- ✐ Messages rédigés : 327
✎ Date d'inscription : 20/01/2016
☠︎ Votre âge ? : 64
⛫ D'où venez-vous ? : ROUEN
Philippe- ★★★★★✩✩✩ Hardos jusqu'au bout des os
- ✐ Messages rédigés : 2815
✎ Date d'inscription : 21/01/2016
☠︎ Votre âge ? : 62
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