Playlist Musique (tous styles, tous supports)

SONATA ARCTICA - Unia (2007)

Paris, Bercy, 20/06/06
Audience moyenne

After Forever : Decipher + S/T

Un groupe obscur d'AOR tendance pomp rock, que feu AOR Heaven avait tenté de sortir de l'anonymat en 2000 avec cette compilation qui réunissait des titres des deux derniers EP sortis par les propres moyens du groupe en 1989 et 1993, et produits par John Elefante (Kansas) et son frère Dino. C'est pas mal, mais je l'écoute rarement.



https://classicrock80.wordpress.com/2019/05/15/crystal-collection-2000/

Un des meilleurs album de thrash technique des 80's (85)

Une éternité que je l'avais pas écouté. Pour moi, c'est de loin ce que Jean Beauvoir a fait de mieux dans sa carrière. C'est d'ailleurs, je crois, le seul disque que j'ai conservé.

THE FIRM : Live From Swedish Tour 1984
Lund, 1/12/84
Excellent audience recording...
Un "supergroupe" composé de Jimmy Page à la guitare, Paul Rodgers au chant, Tony Franklin à la basse et Chris Slade, aurait dû casser la baraque mais bon voilà, il en fut autrement surtout que le 2ème album intitulé Mean Business qui suivit quelques années plus tard cette tournée ne confirma pas toutes les attentes des fans zeppeliniens à l'époque. En 84, j'avais des potes raides dingues du Zep, qui le sont toujours et qui, après avoir été enthousiastes avec le 1er album, avaient ensuite été déçus à la parution de ce 2ème opus.
Là, je réécoute ce deuxième show issu de la 1ère tournée, capté à Lund et franchement, ce n'était pas si mal sans être transcendant.

Philippe a écrit:



THE FIRM : Live From Swedish Tour 1984
Lund, 1/12/84
Excellent audience recording...
Un "supergroupe" composé de Jimmy Page à la guitare, Paul Rodgers au chant, Tony Franklin à la basse et Chris Slade, aurait dû casser la baraque mais bon voilà, il en fut autrement surtout que le 2ème album intitulé Mean Business qui suivit quelques années plus tard cette tournée ne confirma pas toutes les attentes des fans zeppeliniens à l'époque. En 84, j'avais des potes raides dingues du Zep, qui le sont toujours et qui, après avoir été enthousiastes avec le 1er album, avaient ensuite été déçus à la parution de ce 2ème opus.
Là, je réécoute ce deuxième show issu de la 1ère tournée, capté à Lund et franchement, ce n'était pas si mal sans être transcendant.

Je n'ai pas beaucoup écouté les deux albums, mais j'en garde un assez bon souvenir.

ICED EARTH - Dark Genesis

Je dépoussière ce coffret ^.^' Je possède la version "erreur d'usinage" ^.^'

Mes écoutes de cet après-midi.

LP
MOTÖRHEAD : What's Words Worth
Ca faisait longtemps que je ne l'avais pas écouté, celui-ci. Ce live, doté d'un son très brut, est un véritable document puisque celui-ci a été enregistré le 18 février 1978 lors d'un concert organisé par Wilko Johnson à la Roundhouse de Londres et ce, au profit de la conservation des manuscripts de William Wordsworth, célèbre poète britannique du XVIIIème siècle. Pour ce qui concerne le groupe, celui-ci dut se produire sous le nom d'Iron Fist and the Hordes from Hell pour des raisons contractuelles. Mais en 1983, date de la sortie de ce live, apparut bien le véritable nom du groupe.

titi89 a écrit:Mes écoutes de cet après-midi.

T'es resté bloqué dans les S !!!

LP
Un grand classique !!!!!!

LP
Celui-là, je l'avais mis de côté depuis un certain temps pour une raison que je ne saurais définir. Et pourtant qu'est ce qu'il est bon, ce live enregistré un peu partout d'où des p****** de blancs entre les morceaux. Comme le public n'est pas très actif, on ne s'en rend quasiment pas compte. Doc Holliday, comme beaucoup ici, du moins pour les plus anciens, j'ai connu avec le superbe deuxième album Rides Again paru en 1981, un groupe qui a toujours su distiller son rock sudiste de qualité puis qui a commis à mon humble avis l'erreur de se tourner vers une musique plus FM très indigeste ce qui a précipité nos amis vers un anonymat des plus caractérisés. Ce bon p'tit live s'avère être un résumé parfait de leur début de carrière.

LP
Ce quintuple live vinyle, je l'ai vite enregistré (car j'en étais raide dingue) sur deux ou trois K7 de 90 mn pour être en mesure de l'écouter sur les temps libres dans de bonnes conditions dans un walkman alors que j'effectuais mon service national en 1986 dans une base aérienne, celle d'Avord où l'on s'ennuyait grave ferme. Cet album live qui couvrait la décennie 1975-1985, m'a littéralement  accompagné pendant cette année militaire. J'avais besoin à cette époque d'entendre les histoires passées ou présentes du quotidien du Boss. Une oeuvre imposante qui fait de ce live un must have. Ce live de Springsteen, c'est la BEAUTE ABSOLUE notamment la face acoustique (il y en a 10 soit dit en passant sur le vinyle) avec ces versions sublimes de This Land Is Your Land (reprise de Woody Guthrie), Nebraska (un chef d'oeuvre), le superbe Johnny 99 et le dantesque Reason To Believe.

LP
Bad Reputation, c'est bien l'expression que l'on pourrait accorder à Brian Robertson qui fin 76 va se retrouver mêlé à une rixe au Speakeasy à Londres. Vous savez, les Ecossais sont d'un tempérament fougueux et donc ne réfléchissent pas toujours aux conséquences de leurs actes. Avec une blessure à la main droite, notre Robbo compromet donc la tournée de promotion de l'album, tournée qui débutait par quelques dates en Irlande puis aux US. Déjà que ça n'allait plus entre Lynott et Robertson, le premier étant entré dans un accès de colère, ce qui était assez rare chez lui, n'a pas attendu 107 ans pour s'en séparer, le dernier n'apparaissant même pas sur la pochette recto de l'album mais étant bien présent (mais de profil avec une main droite nickel soit dit en passant, comme pour insister sur l'énormité de sa connerie...). Live And Dangerous sera le dernier chapitre de la collaboration Lynott / Robertson et ce, malgré les plates excuses de notre bien-aimé Ecossais qui comptait bien réintégrer le groupe. Bref, le fidèle et "toujours prêt" Gary Moore prend le poste vaqué par Robbo (celui-ci quittera définitivement le groupe le 26 mars 1977) et s'en va assurer avec brio la tournée US 77 en compagnie de Queen. Voilà donc.

Alors Bad Reputation, qu'en est -il ? Débutant sur un mid-tempo intitulé Soldier Of Fortune ponctué de twin guitars "en veux-tu, en voilà" avec en son centre un passage guitaristique de toute beauté (mais aussi la voix de Lynott), le groupe, animé par un sentiment de rebellion, sur la pochette de Fighting, on dirait presque un gang) s'arrache véritablement sur un incendiaire morceau-titre mettant en exergue une prestation du sous-estimé batteur Brian Downey qui là, réalise, une véritable prouesse. Opium Trail et son rythme saccadé viennent mettre tout le monde d'accord et ce, grâce à nos deux six-cordistes qui s'en donnent à coeur joie (peut-être plus Gorham que Robertson). Southbound, ballade sympa qui manque ceci dit, d'un peu de pêche par rapport à la version live qui figurera sur Live And Dangerous. On tourne le disque (bah oui, il s'agit d'un vinyle) et on tombe sur le très chaloupé Dancing In The Moonlight, jazzy à souhait et ce, grâce à l'intervention brillante au saxophone de John Helliwell, membre de Supertramp. Un titre qui, avec le temps, va s'imposer comme étant un classique du groupe souvent enchainé à très bon escient à Massacre en live. Gros riffs sur Killer Without A Cause toujours décochés intelligemment, en ce sens qu'au milieu du gros son, il y a toujours de la MELODIE, et ça, c'est la marque de fabrique de Lizzy qu'ont repris par la suite des groupes comme Iron Maiden sur des titres comme Run To The Hills par exemple. Downtown Sundown vient calmer le jeu conjuguant à la fois, la voix presque "tropicale" de Lynott et le solo très aérien de Gorham. Seul petit bémol, That Woman's Gonna Break Your Heart qui fait un peu office de titre de remplissage, ne brille pas par son originalité. On finit sur une superbe note avec un Dear Lord sur lequel Lynott implore le Créateur pour se faire pardonner ses péchés. C'est vrai que lui, il en avait à se faire pardonner compte tenu du mode de vie qu'il menait. Il en est mort le 4 janvier 1986.