BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
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Tailgunner
Ewen
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BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
A l'écoute des trois morceaux que Frontiers Music nous a proposé en guise d'apéritifs, je m'attendais à un album oscillant entre correct et médiocre. Si j'enlève les trois premiers titres, ceux-là même qui servirent de singles !, j'obtiens un excellent condensé de Hard Rock/Heavy Metal sauce BÖC ! Je me réécoute l'album pour la seconde fois, aujourd'hui. Je pensais faire l'impasse sur ce disque et finalement je me résous à le commander prochainement. Un retour convaincant pour ma part !
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Re: BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
J'attends ta chronique pour voir si j'achète ou pas
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Re: BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
Tailgunner a écrit:J'attends ta chronique pour voir si j'achète ou pas
La pression que tu m'imposes !!!
L'album est en streaming sur YouTube. Je te suggère vivement de zapper les trois premiers morceaux
Ewen- ★★★★★★★★ Administrateur
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Re: BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
Fred a rédigé un bel article à ce sujet
https://hardrock80fr.wordpress.com/2020/10/10/blue-oyster-cult-the-symbol-remains-2020/
https://hardrock80fr.wordpress.com/2020/10/10/blue-oyster-cult-the-symbol-remains-2020/
Ewen- ★★★★★★★★ Administrateur
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Re: BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
Nightmare Epiphany fait mouche Cette chanson est très dansante, aérienne.
Tainted Blood me rappelle We Are d'Ana Johnsson. Malgré tout, j'aime ce titre.
Edge Of The World pourrait très bien appartenir à la trilogie Noire/Blanche.
The Machine sonne résolument AUTOGRAPH actuel. Voire des groupes comme DANGER DANGER (pour les refrains vocalement "clairs") ou KISS (pour les couplets, le timbre vocal).
The Return Of St. Cecilia, c'est du BÖC 100% pur-jus. Je soupçonne des chutes (je n'ai pas encore consulté le livret, je n'ai écouté qu'en ligne l'album).
The Alchemist, une chute d'Imaginos ?
Voili, voilou, quelques ressentis avant l'article que je posterai ici
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Re: BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
Qu'est-ce qu'elle est moche la pochette, ils nous ont habitués à bien mieux (même s'il n'y a pas eu que des chefs d'oeuvre) :/
Ca n'empêche que je taperai à l'occase une oreille sur ce skeud ...
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Pyromaniaque- ★★★★★★✩✩ Thrasheur du samedi soir
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Re: BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
BLUE ÖYSTER CULT : The Symbol Remains
Dix-neuf ans pour publier un album studio ? On ne peut pas dire que le BÖC se soit hâté pour donner un successeur au décevant Curse Of The Hidden Mirror. A sa décharge, le groupe a beaucoup tourné et surtout a déposé ses valises chez un nouveau label qui lui garantira une certaine sécurité discographique à savoir Frontiers Records contrairement à Sanctuary Records qui a fermé boutique.
Il y avait donc du temps à rattraper puisque dans l'intervalle sont sortis un coffret regroupant tous les albums studio (The Columbia Albums Collection), coffret suivi de quatre albums live qui, malheureusement avaient du mal à supporter la comparaison avec leurs glorieux aînés que sont On Your Feet Or On Your Knees, Some Enchanted Evening et Extraterrestrial Live parce que trop mous sauf peut-être le I Heart Theater N.Y.C 2012 un peu plus relevé que les autres.
Alors oui, toutes ces sorties, le groupe nous les avait annoncées via un long message l'an passé mais le plus intéressant résidait, vous en conviendrez, dans la parution d'un nouvel album studio, intitulé, nous le saurons par la suite, The Symbol Remains, un titre qui provient d'une phrase extraite de Shadow Of California que l'on retrouve sur The Revolution By Night paru en 1983.
Bah oui, "le "Symbole reste", est même omniprésent et c'est d'ailleurs ce que l'on voit immédiatement en gros plan sur la pochette réalisée par le talentueux Stan W.Decker, cette croix de Kronos, si problématique au début de leur carrière. Le "Symbole reste" mais le line up évolue sensiblement puisque depuis l'album précédent, le talentueux Allen Lanier s'en est allé vers d'autres cieux. Richie Castellano, guitariste auteur compositeur a grossi, au propre comme au figuré, les rangs du gang new yorkais, accompagné qu'il est de l'excellent et "généreux" Jules Radino à la batterie et le massif Danny Miranda, fidèle bassiste par les fidèles depuis très longtemps qui, certes s'était éclipsé pendant quelques années mais qui, telle une perle, a réintégré son huître préférée.
Les deux "vétérans des guerres psychiques" (la colonne vetébrale du groupe, oserais-je dire) que sont Eric Bloom et Buck Dharma (qui se sont chargés de la production en compagnie de Steve Schenk) sont les deux capitaines du Culte de l'Huitre Bleue, épaulés qu'ils le sont par l'écrivain de science-fiction, John Shirley pour les textes. Deux capitaines qui tiennent fermement la barre et qui savent de toute évidence où ils vont, vers quel(s) univers ils désirent explorer, emmenant dans leur sillage leurs comparses sur des terrains aussi éclectiques les uns que les autres. Ainsi, au gré de l'écoute de cet opus, on s'engage sur du gros métal très sombre avec un That Was Me (mâtiné d'un passage reggae fort bienvenu) sur lequel intervient assez discrètement le batteur historique du groupe, Albert Bouchard ou bien encore un Stand And Fight et un The Alchemist d'une classe absolue qui se termine sur une cavalcade endiablée, typique de la maison "Blue Öyster Cult" (on sait où on est) mais dotée d'un son résolument plus moderne.
On s'aventure aussi sur quelque chose aussi de plus guilleret et sautillant (grâce aux joutes livrées par nos deux artilleurs en chef) via le pétillant Nightmare Epiphany qui assurément, vous mettra de bonne humeur avant de partir travailler. On tape du pied, on a presque même envie de danser..........en solo, p***** de virus oblige, mais bon, c'est frais, ça vous esquisse un large sourire pour la journée. Il en est de même sur la mélodie quelque peu "sucrée" de Florida Man interprétée par le sieur Dharma. Le Buck, il a toujours été friand des morceaux un peu "poppy" lui gratifiant par le passé un succès guère négligeable, celui de Burnin' For You pour ne pas le nommer et donc là, il réitère de fort belle façon avec également ce Box In My Head sur un tempo plus que rapide. Et là, on retrouve un Buck brillant en termes d'interventions.
Ce qui interpelle via cet album, c'est l'omniprésence de Richie Castellano dans le processus de composition (7 titres sur 14 à son actif). Pas mal pour un soi-disant "nouveau" membre présent depuis véritablement 2004. Bref, notre gaillard s'est vraiment investi dans ce qui s'est avéré être plus qu'une contribution sur The Symbol Remains notamment sur cette jolie ballade Tainted Blood (une "power ballad" qu'on appelle ça, paraît-il) qu'il interprète non sans émotion. Encore un bel effort de composition et surtout un joli brin de voix. The Machine, un hard rock qui se veut très carré mettant une fois de plus en avant tout le talent du monsieur. Il ne s'arrête pas en si bon chemin puisque la compo qui suit, The Return Of St Cecilia atteint vraiment des sommets permettant à son alter égo, Dharma de lui livrer un combat guitaristique sans merci comme au bon vieux temps de Born To Be Wild. Un combat qui se poursuit sur le titre suivant, Stand And Fight sur une rythmique de plomb qu'un groupe comme Metallica n'aurait pas reniée. Puis viennent Florida Man et sa mélodie poppy que j'ai évoqués plus haut.
On tape également dans un registre rock and rollien et ce, grâce à Train True (Lennie's Song) mais aussi dans un certain groove avec Edge Of The World agrémenté cela étant de choeurs dispensables. La voix de Bloom y est presque épileptique, miaulant presque sur certains phrasés.
There's A Crime lorgne quant à lui, et ce, grâce à ce rythme saccadé vers un Kick Out The Jams (déjà repris soit dit en passant sur le live Some Enchanted Evening) en moins saignant mais qui séduit son auditeur notamment lors de l'intervention du redoutable Danny à la basse. L'album se termine sur un mid-tempo fort agréable (Fight) mais pas transcendant en même temps. On ne peut pas être génial à tous les coups. Grâce à l'ami Castellano qui a su re-dynamiser les troupes avec des compos inspirées et efficaces, chose qui n'était pas arrivée depuis un certain temps, le groupe nous propose un album au final moderne, "é(lec)clectique" aussi (qui ne justifiait pas forcément une attente aussi longue.....), tendant à démontrer que les New Yorkais ont encore des choses à dire. En espérant que le prochain opus ne sera aussi long à venir.....Pour le coup, l'impatience me gagne.....Surtout, j'aime de nouveau les huîtres.......
Dix-neuf ans pour publier un album studio ? On ne peut pas dire que le BÖC se soit hâté pour donner un successeur au décevant Curse Of The Hidden Mirror. A sa décharge, le groupe a beaucoup tourné et surtout a déposé ses valises chez un nouveau label qui lui garantira une certaine sécurité discographique à savoir Frontiers Records contrairement à Sanctuary Records qui a fermé boutique.
Il y avait donc du temps à rattraper puisque dans l'intervalle sont sortis un coffret regroupant tous les albums studio (The Columbia Albums Collection), coffret suivi de quatre albums live qui, malheureusement avaient du mal à supporter la comparaison avec leurs glorieux aînés que sont On Your Feet Or On Your Knees, Some Enchanted Evening et Extraterrestrial Live parce que trop mous sauf peut-être le I Heart Theater N.Y.C 2012 un peu plus relevé que les autres.
Alors oui, toutes ces sorties, le groupe nous les avait annoncées via un long message l'an passé mais le plus intéressant résidait, vous en conviendrez, dans la parution d'un nouvel album studio, intitulé, nous le saurons par la suite, The Symbol Remains, un titre qui provient d'une phrase extraite de Shadow Of California que l'on retrouve sur The Revolution By Night paru en 1983.
Bah oui, "le "Symbole reste", est même omniprésent et c'est d'ailleurs ce que l'on voit immédiatement en gros plan sur la pochette réalisée par le talentueux Stan W.Decker, cette croix de Kronos, si problématique au début de leur carrière. Le "Symbole reste" mais le line up évolue sensiblement puisque depuis l'album précédent, le talentueux Allen Lanier s'en est allé vers d'autres cieux. Richie Castellano, guitariste auteur compositeur a grossi, au propre comme au figuré, les rangs du gang new yorkais, accompagné qu'il est de l'excellent et "généreux" Jules Radino à la batterie et le massif Danny Miranda, fidèle bassiste par les fidèles depuis très longtemps qui, certes s'était éclipsé pendant quelques années mais qui, telle une perle, a réintégré son huître préférée.
Les deux "vétérans des guerres psychiques" (la colonne vetébrale du groupe, oserais-je dire) que sont Eric Bloom et Buck Dharma (qui se sont chargés de la production en compagnie de Steve Schenk) sont les deux capitaines du Culte de l'Huitre Bleue, épaulés qu'ils le sont par l'écrivain de science-fiction, John Shirley pour les textes. Deux capitaines qui tiennent fermement la barre et qui savent de toute évidence où ils vont, vers quel(s) univers ils désirent explorer, emmenant dans leur sillage leurs comparses sur des terrains aussi éclectiques les uns que les autres. Ainsi, au gré de l'écoute de cet opus, on s'engage sur du gros métal très sombre avec un That Was Me (mâtiné d'un passage reggae fort bienvenu) sur lequel intervient assez discrètement le batteur historique du groupe, Albert Bouchard ou bien encore un Stand And Fight et un The Alchemist d'une classe absolue qui se termine sur une cavalcade endiablée, typique de la maison "Blue Öyster Cult" (on sait où on est) mais dotée d'un son résolument plus moderne.
On s'aventure aussi sur quelque chose aussi de plus guilleret et sautillant (grâce aux joutes livrées par nos deux artilleurs en chef) via le pétillant Nightmare Epiphany qui assurément, vous mettra de bonne humeur avant de partir travailler. On tape du pied, on a presque même envie de danser..........en solo, p***** de virus oblige, mais bon, c'est frais, ça vous esquisse un large sourire pour la journée. Il en est de même sur la mélodie quelque peu "sucrée" de Florida Man interprétée par le sieur Dharma. Le Buck, il a toujours été friand des morceaux un peu "poppy" lui gratifiant par le passé un succès guère négligeable, celui de Burnin' For You pour ne pas le nommer et donc là, il réitère de fort belle façon avec également ce Box In My Head sur un tempo plus que rapide. Et là, on retrouve un Buck brillant en termes d'interventions.
Ce qui interpelle via cet album, c'est l'omniprésence de Richie Castellano dans le processus de composition (7 titres sur 14 à son actif). Pas mal pour un soi-disant "nouveau" membre présent depuis véritablement 2004. Bref, notre gaillard s'est vraiment investi dans ce qui s'est avéré être plus qu'une contribution sur The Symbol Remains notamment sur cette jolie ballade Tainted Blood (une "power ballad" qu'on appelle ça, paraît-il) qu'il interprète non sans émotion. Encore un bel effort de composition et surtout un joli brin de voix. The Machine, un hard rock qui se veut très carré mettant une fois de plus en avant tout le talent du monsieur. Il ne s'arrête pas en si bon chemin puisque la compo qui suit, The Return Of St Cecilia atteint vraiment des sommets permettant à son alter égo, Dharma de lui livrer un combat guitaristique sans merci comme au bon vieux temps de Born To Be Wild. Un combat qui se poursuit sur le titre suivant, Stand And Fight sur une rythmique de plomb qu'un groupe comme Metallica n'aurait pas reniée. Puis viennent Florida Man et sa mélodie poppy que j'ai évoqués plus haut.
On tape également dans un registre rock and rollien et ce, grâce à Train True (Lennie's Song) mais aussi dans un certain groove avec Edge Of The World agrémenté cela étant de choeurs dispensables. La voix de Bloom y est presque épileptique, miaulant presque sur certains phrasés.
There's A Crime lorgne quant à lui, et ce, grâce à ce rythme saccadé vers un Kick Out The Jams (déjà repris soit dit en passant sur le live Some Enchanted Evening) en moins saignant mais qui séduit son auditeur notamment lors de l'intervention du redoutable Danny à la basse. L'album se termine sur un mid-tempo fort agréable (Fight) mais pas transcendant en même temps. On ne peut pas être génial à tous les coups. Grâce à l'ami Castellano qui a su re-dynamiser les troupes avec des compos inspirées et efficaces, chose qui n'était pas arrivée depuis un certain temps, le groupe nous propose un album au final moderne, "é(lec)clectique" aussi (qui ne justifiait pas forcément une attente aussi longue.....), tendant à démontrer que les New Yorkais ont encore des choses à dire. En espérant que le prochain opus ne sera aussi long à venir.....Pour le coup, l'impatience me gagne.....Surtout, j'aime de nouveau les huîtres.......
Philippe- ★★★★★✩✩✩ Hardos jusqu'au bout des os
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Re: BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
Merci Philippe !!! J'ai pris plaisir à te lire
A l'attention de mon fanclub composé uniquement de Tailgunner : j'ai entamé mon article. Bientôt mon écrit-fleuve ^.^
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Ewen- ★★★★★★★★ Administrateur
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Re: BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
Ewen, pourquoi être aussi restrictif ? Tous les fans ne sont pas forcément des groupies
Et Merci Philippe, des chroniques toujours aussi bien construites et intéressantes.
Et Merci Philippe, des chroniques toujours aussi bien construites et intéressantes.
Re: BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
Hugh, il a écrit ça parce que j'avais posté sur le forum que mon achat serait probablement orienté par sa chronique
Tailgunner- ★★★★★★✩✩ Hardos jusqu'au bout des os
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Re: BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
Tailgunner a écrit:Hugh, il a écrit ça parce que j'avais posté sur le forum que mon achat serait probablement orienté par sa chronique
J'ai pris mon temps. Par contre, Wordpress comme Blogger, quelle horreur leur éditeur de texte
https://hardloudndeep-blogzine.blogspot.com/2020/10/blue-oyster-cult-the-symbol-remains.html
Pour l'acte d'achat, la réponse se trouve en conclusion.
Ewen- ★★★★★★★★ Administrateur
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Re: BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
je pense que je vais me laisser tenter par cet album du B.O.C
Re: BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
Deux ans après, grand fou
Tailgunner- ★★★★★★✩✩ Hardos jusqu'au bout des os
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Re: BLUE ÖYSTER CULT - The Symbol Remains (2020)
bah oui, il y as un moment qu'il est dans ma wantlist
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