JUDAS PRIEST - Unleashed in The East (1979)

sortie en octobre 79 ce live enregistré au japon à tokyo en 79 est une bombe ,le son est phenomenale (vrai ou faux live ,j en reparle a la fin ) !!!
des le debut on ce prend une speederie digne de ce nom l excellent "exciter" ,suivie d un "running wild" et d un "sinner" de folie ,la face a ce termine avec "the ripper" et " the green manilishi".
la face b commence par le genial "diamond and rust" et l enorme "victim of change "(d hantologie) avant de ce terminer par la doublette "genocide" "tyrant" qui detruit ce qui reste de vos cervicales.
la version japonaise etait double et contenait 4 titres supplementaire que l on retrouve dans la version remasterisé sortie en 2001,"rock forever" l excellent "delivering the god" le classique "hell bent for leather" et le sympathique "starbreaker". seul reproche sur cet version de 2001 :les titres ne sont pas dans l ordre du concert

j oublié la plus grosse faute de gout sur cet album est qu il n y a pas "beyond the realms of death ".

deux choses :

sur la photo on ne vois pas les bink le batteur et c est normal il avait deja quitter le groupe au moment de la photo .

la legende veux que l album est etait entierement refais en studio ,hors il semblerait que juste certaine partie vocale ait eté refaite par rob ,les bandes ayant eté endommagées .
ayant deja ecouter qq bootlegs de cet periode (78 et 79 ) les prestations sont identiques.

une bombe cet album

J'ai découvert le groupe avec ce disque. Très bon album, même si on n'y retrouve pas les hits qui feront le succès du groupe. Pourtant, les titres présents sont excellents et mériteraient de revenir un peu sur le devant des projecteurs !

C'est mon album live préféré devant Live After Death, Tokyo Tapes, No Sleep 'til Hammersmith et bien d'autres.

Hugh a écrit:C'est mon album live préféré devant Live After Death, Tokyo Tapes, No Sleep 'til Hammersmith et bien d'autres.

Et bien, pour devancer Motörhead dans ton coeur, il faut quand même le faire !

TheWickerMan a écrit:Et bien, pour devancer Motörhead dans ton coeur, il faut quand même le faire !

Oui c'est clair mais ce live, c'est LA bombe ultime du Live pour moi.

Hugh a écrit:

TheWickerMan a écrit:Et bien, pour devancer Motörhead dans ton coeur, il faut quand même le faire !

Oui c'est clair mais ce live, c'est LA bombe ultime du Live pour moi.

Il est pas sensé être faux ?

Je rigole, moi ces débats vrai-live/faux-live m'ont toujours bien fait rire. Pour ma part, là comme ça à chaud je ne saurais pas te dire quel live est mon préféré. Ça a longtemps été le "Stayling A Life" de Accept mais je ne sais pas si c'est encore le cas aujourd'hui....

L'avantage d'écrire sur un webzines de jeunes foufous, c'est que je pouvais chroniquer n'importe quelle vieillerie sans qu'on vienne marcher sur mes platebandes (jusqu'à l'arrivée d'un certain Taker   ). Voilà donc ce que j'écrivais en octobre 2006 sur un disque qui a marqué mon année 1984 (oui, je l'ai découvert tard) (Chronique publiée sur METAL SICKNESS)

Après 5 disques studio (à l’époque, on ne sortait pas un live après deux albums) qui ont vu le groupe gagner une fan base de plus en plus large, Judas Priest sort en 1979 son premier live, enregistré au Japon (l’eldorado de l’époque pour ce genre d’exercice, puisque MSG, Scorpions et bien d’autres y gagneront leurs lettres de noblesse).

Inutile de revenir sur la polémique qui a toujours accompagné ce témoignage du périple nippon des 5 anglais, portant sur l’authenticité de l’œuvre. La qualité du son en général (Tom Allom aux manettes), et du chant en particulier a longtemps prêté à caution et le groupe a d’ailleurs reconnu qu’il avait fait des retouches studio (après, tout est affaire de proportion). Mais l’essentiel n’est pas là, le plus important, c’est la concentration de titres majeurs de la première partie de carrière du groupe.
Pour mesurer l’influence du combo sur la scène métal, il suffit de voir le titre des trois premiers morceaux : trois noms de groupes encore en activité (Exciter, Running Wild, Sinner) !

Dès le premier titre, le son est énorme (presque trop parfait pour être honnête, bien que Judas Priest ait bâti une partie de sa réputation sur l’excellence du son en concert) et "Exciter" déboule sur un tempo furieux et un gimmick de guitare inoubliable sur la fin du solo.
Véritable griffe du groupe, les parties de guitares sont omniprésentes et mémorisables (on voit tout de suite que certains héros des 80’set 90’s ont biberonné à ce disque là, Kaï Hansen en tête)
"The Ripper" (tiens tiens, ça ne vous rappelle personne ?) mélodique et malsaine sonne comme jamais.
Rob Halford livre ici une prestation hors norme ("Victim of Change" "Sinner") qui le font entrer dans la légende du rock (pour les mauvaises langues qui n’auraient jamais vu le sieur en concert, il reproduit tranquille ses performance studio, sur scène).

Comme à son habitude, la section rythmique est efficace (il s’agit de la dernière collaboration du batteur Les Binks) mais sans plus, laissant la part belle à KK Downing et Glenn Tipton. Ceux-ci se partagent le travail de manière très précise, quand l’un bûcheronne des riffs d’acier, l’autre cisèle des lignes mélodiques d’anthologie. C’est particulièrement vrai sur ce joyau qu’est "The Green Manalishi". Cette cover de Fleetwood Mac devient sous les doigts de Judas Priest un pur hymne heavy métal. Que dire de la seconde reprise, "Diamonds and Rust", composée à l’origine par Joan Baez (égérie des hippies et maître en protest songs à la fin des 60’s). Dire que le morceau est méconnaissable est un euphémisme, mais c’est une adaptation totalement réussie.
Le groupe pose des jalons dans tous les domaines du heavy metal (quelque soit le tempo) et propose ses meilleurs titres sous un éclairage particulièrement moderne (ce qui n’était pas le cas sur les premiers disques du Priest).

Avec "Unleashed In The East" Judas Priest devient un groupe majeur, et il entérinera définitivement ce statut avec son LP suivant "British Steel", mais ça c’est une autre histoire, que je vous narrerai bientôt."

Mythique !!!!!!!!

le seul regret c'est de ne pas trop entendre le public et d'avoir l'impression que c'est un peu trop parfait mais il est excellent.

Un grand moment de découvrir ce LP à sa sortie.
Il a tourné en boucle ce 33T. Pour la plus grande joie de mes parents et des voisins.
Ptet retouché de partout comme une Playmate. Mais pas grave il fait partie de l'histoire du Priest.

Un de mes préférés, un des meilleurs live