BRUCE DICKINSON : Paris, Olympia, 26/5/24
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BRUCE DICKINSON : Paris, Olympia, 26/5/24
BRUCE DICKINSON : Paris, Olympia, 26/5/24
Deux jours après les Black Crowes, me voilà de nouveau en ce même lieu pour assister au concert de Bruce Dickinson. Il y a quelques semaines, notre "jeune marié" a sorti un album ambitieux titré The Mandrake Project. Présenté comme une sorte de concept-album en dix chapitres gorgés de mélodies souvent complexes, l'opus, selon les spécialistes de l'artiste dont je ne fais pas partie, se veut être un savoureux mélange de ses albums précédents que sont Accident Of Birth, The Chemical Wedding et Tyranny Of Souls. Là, comme ça, et je vais vous l'avouer en toute honnêteté, je n'ai pas suivi rigoureusement la carrière solo du monsieur non pas par manque d'intérêt mais plutôt par méfiance de ce que produisait l'ami Bruce. N'allez pas me jeter la pierre mais bon lorsque l'on écoute le projet British Lion de Steve Harris, on peut être amenés à se poser bon nombre de questions. C'est donc dans un flou.....artistique que je me rendais à ce concert en compagnie de nombreux amis qui étaient déjà sur place.
Black Smoke Trigger, groupe de rock alternatif néo-zélandais qui a sorti un EP intitulé Set It Off en 2019 et plusieurs singles entre cette date et 2024, avait la lourde charge d'assurer la première partie. Premier titre bien sympa mais dès le deuxième, je sens la lassitude m'envahir. L'impression d'entendre ces groupes des 90's lorgnant de temps à autre vers Audioslave voire Alice In Chains, me fait décrocher assez vite. Sans doute, y avait-il aussi une part de fatigue ? Bref, je suis content que ça se termine.
30 minutes plus tard, c'est un Dickinson survitaminé qui déboule sur scène avec un Accident Of Birth des plus dévastateurs. Le son est correct sans être transcendant et les lights assez minimalistes. Du haut de ses 65 ans, le type bondit à la vitesse d'un kangourou à tel point qu'il est difficile de suivre le bouillant chanteur. Certains titres dont je connais à peine l'existence s'enchainent à vitesse grand "V". D'autres, en revanche font dans la longueur la plus outrecuidante qui soit.
Dickinson est très en voix comme souvent d'ailleurs et aligne son répertoire avec la grande classe qu'on lui connaît. Ainsi à travers des titres comme Abduction, Laughing In The Hiding Bush et The Chemical Wedding, le public est tout acquis à sa cause et le manifeste haut et fort. On se croirait presque à un concert de Maiden en termes d'ambiance mais malheureusement pas en termes de morceaux accrocheurs à part peut-être Afterglow Of Ragnarok, Resurrection Men et Rain Of The Graves (les deux derniers cités sont situés en milieu de show).
Quant au décor, on est vraiment gâtés. Nous avons droit à des animations tout aussi magnifiques les unes que les autres devant lesquelles les membres du groupe font état de leur talent. La belle Irlandaise Tanya O'Callaghan, bien trop en retrait à mon goût, joue de complicité avec ses comparses notamment Dave Moreno qui, de son côté se fend de superbes parties de batterie. Blacky me demande l'impossible en essayant de prendre des photos de la belle et ce, dans une fosse déchainée........... Pas une partie de plaisir. Parce qu'il n'en veut pas qu'une le saligaud.
Après un court rappel, Dickinson revient sur le très beau Navigate The Seas Of The Sun de Tyranny Of Souls puis finit en beauté sur deux titres de The Chemical Wedding à savoir Book Of Thel et The Tower.
Je ne sais quoi trop penser de ce concert qui fut en tout point percutant, très pro à tous les niveaux, le tout dans une excellente ambiance avec un Bruce en verve durant tout le show.
Mais voilà, il a sans doute manqué, selon moi, le p'tit quelque chose (un ou deux hits imparables et fédérateurs pour l'aspect musical), un je ne sais quoi qui aurait marqué les esprits, une jam avec ......... surtout que deux jours plus tôt, il y avait eu le mariage de notre ami à Ramatuelle avec...... en ce lieu légendaire qu'est l'Olympia. Je le répète, il y avait matière à rendre ce concert encore plus marquant. Là, c'était très bien et là ce n'est que mon avis, cela ne restera pas forcément inoubliable. P*****, si ça avait eu lieu........
https://www.setlist.fm/setlist/bruce-dickinson/2024/lolympia-bruno-coquatrix-paris-france-73a8761d.html
Deux jours après les Black Crowes, me voilà de nouveau en ce même lieu pour assister au concert de Bruce Dickinson. Il y a quelques semaines, notre "jeune marié" a sorti un album ambitieux titré The Mandrake Project. Présenté comme une sorte de concept-album en dix chapitres gorgés de mélodies souvent complexes, l'opus, selon les spécialistes de l'artiste dont je ne fais pas partie, se veut être un savoureux mélange de ses albums précédents que sont Accident Of Birth, The Chemical Wedding et Tyranny Of Souls. Là, comme ça, et je vais vous l'avouer en toute honnêteté, je n'ai pas suivi rigoureusement la carrière solo du monsieur non pas par manque d'intérêt mais plutôt par méfiance de ce que produisait l'ami Bruce. N'allez pas me jeter la pierre mais bon lorsque l'on écoute le projet British Lion de Steve Harris, on peut être amenés à se poser bon nombre de questions. C'est donc dans un flou.....artistique que je me rendais à ce concert en compagnie de nombreux amis qui étaient déjà sur place.
Black Smoke Trigger, groupe de rock alternatif néo-zélandais qui a sorti un EP intitulé Set It Off en 2019 et plusieurs singles entre cette date et 2024, avait la lourde charge d'assurer la première partie. Premier titre bien sympa mais dès le deuxième, je sens la lassitude m'envahir. L'impression d'entendre ces groupes des 90's lorgnant de temps à autre vers Audioslave voire Alice In Chains, me fait décrocher assez vite. Sans doute, y avait-il aussi une part de fatigue ? Bref, je suis content que ça se termine.
30 minutes plus tard, c'est un Dickinson survitaminé qui déboule sur scène avec un Accident Of Birth des plus dévastateurs. Le son est correct sans être transcendant et les lights assez minimalistes. Du haut de ses 65 ans, le type bondit à la vitesse d'un kangourou à tel point qu'il est difficile de suivre le bouillant chanteur. Certains titres dont je connais à peine l'existence s'enchainent à vitesse grand "V". D'autres, en revanche font dans la longueur la plus outrecuidante qui soit.
Dickinson est très en voix comme souvent d'ailleurs et aligne son répertoire avec la grande classe qu'on lui connaît. Ainsi à travers des titres comme Abduction, Laughing In The Hiding Bush et The Chemical Wedding, le public est tout acquis à sa cause et le manifeste haut et fort. On se croirait presque à un concert de Maiden en termes d'ambiance mais malheureusement pas en termes de morceaux accrocheurs à part peut-être Afterglow Of Ragnarok, Resurrection Men et Rain Of The Graves (les deux derniers cités sont situés en milieu de show).
Quant au décor, on est vraiment gâtés. Nous avons droit à des animations tout aussi magnifiques les unes que les autres devant lesquelles les membres du groupe font état de leur talent. La belle Irlandaise Tanya O'Callaghan, bien trop en retrait à mon goût, joue de complicité avec ses comparses notamment Dave Moreno qui, de son côté se fend de superbes parties de batterie. Blacky me demande l'impossible en essayant de prendre des photos de la belle et ce, dans une fosse déchainée........... Pas une partie de plaisir. Parce qu'il n'en veut pas qu'une le saligaud.
Après un court rappel, Dickinson revient sur le très beau Navigate The Seas Of The Sun de Tyranny Of Souls puis finit en beauté sur deux titres de The Chemical Wedding à savoir Book Of Thel et The Tower.
Je ne sais quoi trop penser de ce concert qui fut en tout point percutant, très pro à tous les niveaux, le tout dans une excellente ambiance avec un Bruce en verve durant tout le show.
Mais voilà, il a sans doute manqué, selon moi, le p'tit quelque chose (un ou deux hits imparables et fédérateurs pour l'aspect musical), un je ne sais quoi qui aurait marqué les esprits, une jam avec ......... surtout que deux jours plus tôt, il y avait eu le mariage de notre ami à Ramatuelle avec...... en ce lieu légendaire qu'est l'Olympia. Je le répète, il y avait matière à rendre ce concert encore plus marquant. Là, c'était très bien et là ce n'est que mon avis, cela ne restera pas forcément inoubliable. P*****, si ça avait eu lieu........
https://www.setlist.fm/setlist/bruce-dickinson/2024/lolympia-bruno-coquatrix-paris-france-73a8761d.html
Philippe- ★★★★★✩✩✩ Hardos jusqu'au bout des os
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✎ Date d'inscription : 21/01/2016
☠︎ Votre âge ? : 62
Re: BRUCE DICKINSON : Paris, Olympia, 26/5/24
merci pour le report
très bon concert, très bons morceaux (pour moi ), très bonne ambiance, Bruce content d'être là, vraiment très bien !
très bon concert, très bons morceaux (pour moi ), très bonne ambiance, Bruce content d'être là, vraiment très bien !
Moka17- ★★✩✩✩✩✩✩ Rockeur en herbe
- ✐ Messages rédigés : 179
✎ Date d'inscription : 22/01/2016
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